A peine le temps de nous habituer au climat, que nous rejoignons déjà notre guide Qiang. Dès notre rencontre avec celui-ci, nous avons une première approche de l’organisation et de la rigueur chinoise : tout doit être aligné, ponctuel et expéditif.
Accompagnés par notre guide, nous prenons le MagLev, puis le bus pour nous rendre à notre hôtel. Durant ce trajet, une architecture inhabituelle se déploie sous nos yeux. Ce que nous voyons ressemble à un mélange entre Las Vegas, Disneyland et le Futuroscope. Cette mixité architecturale témoigne des diverses colonisations européennes mises en confrontation avec les buildings de la Chine contemporaine.
Entre ces multiples constructions serpentent d’importants axes routiers sur plusieurs niveaux.
Dans la deuxième partie de la journée, nous découvrons un autre aspect de Shanghai, en longeant la rue Huai Hai. Par ses larges avenues et ses buildings, ce quartier nous rappelle les grandes métropoles américaines. Toutes les grandes marques occidentales semblent y être représentées. Celles-ci ont conservé les mêmes codes qu’elles utilisent dans nos villes européennes. Cependant, les publicités et les packagings se différencient de ceux auxquels nous sommes habitués. Ils nous paraissent un peu rétro.
En marchant sur Huai Hai Lu, nous observons la conception particulière de la circulation routière. Sur la route, piétons, bus, vélos, vélomoteurs et voitures se côtoient dans l’anarchie la plus complète. Il n’y a pas de priorité définie, chacun passe quand il veut, ou plutôt quand il peut…
Certains grands carrefours sont tout de même munis de feux, mais ceux-ci ne sont pas respectés. De ce fait, une demi-douzaine d’agents de la circulation tentent de gérer le trafic. Mais malgré leurs nombreux coups de sifflet et leurs courses effrénées, traverser un passage piéton reste une épreuve périlleuse!
Accompagnés par notre guide, nous prenons le MagLev, puis le bus pour nous rendre à notre hôtel. Durant ce trajet, une architecture inhabituelle se déploie sous nos yeux. Ce que nous voyons ressemble à un mélange entre Las Vegas, Disneyland et le Futuroscope. Cette mixité architecturale témoigne des diverses colonisations européennes mises en confrontation avec les buildings de la Chine contemporaine.
Entre ces multiples constructions serpentent d’importants axes routiers sur plusieurs niveaux.
Dans la deuxième partie de la journée, nous découvrons un autre aspect de Shanghai, en longeant la rue Huai Hai. Par ses larges avenues et ses buildings, ce quartier nous rappelle les grandes métropoles américaines. Toutes les grandes marques occidentales semblent y être représentées. Celles-ci ont conservé les mêmes codes qu’elles utilisent dans nos villes européennes. Cependant, les publicités et les packagings se différencient de ceux auxquels nous sommes habitués. Ils nous paraissent un peu rétro.
En marchant sur Huai Hai Lu, nous observons la conception particulière de la circulation routière. Sur la route, piétons, bus, vélos, vélomoteurs et voitures se côtoient dans l’anarchie la plus complète. Il n’y a pas de priorité définie, chacun passe quand il veut, ou plutôt quand il peut…
Certains grands carrefours sont tout de même munis de feux, mais ceux-ci ne sont pas respectés. De ce fait, une demi-douzaine d’agents de la circulation tentent de gérer le trafic. Mais malgré leurs nombreux coups de sifflet et leurs courses effrénées, traverser un passage piéton reste une épreuve périlleuse!
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